Le j'aime, j'aime pas du match contre Calais
J’ai aimé :
→ La victoire du Nancy Volley contre un de ses concurrents directs pour le maintien. Un succès qui donne trois points d’avance aux Maxévillois sur les Calaisiens.
→ La prestation d’ensemble de l’équipe, certainement la plus aboutie de la saison à domicile.
→ La qualité de jeu d’AJ Nally. L’attaquant US ne triche pas. Il mouille le maillot avec un certain talent. Solide en réception, il s’est aussi avéré efficace au filet avec 71% de réussite (12/17).
→ Voir trois joueurs du Nancy Volley à plus de dix points (De Souza Maciel, Knudsen, Nally) alors que le match a été plié en trois sets.
→ La solidité de la réception nancéienne autour de l’axe Lacombe/Nally
→ Le renouveau de Vincent Lacombe en réception. Le libero nancéien a enfin évolué à son réel niveau.
→ Voir dans les tribunes Ali Kerboua. Profitant d’un week-end de libre, l’actuel joueur de Beaucourt est venu saluer ses anciens partenaires. Sympa !
→ Le coaching payant de Manu Dumortier dans le 3e set qui a fait entrer Florin Balhacéanu et Alexandre Hentzen à bon escient.
→ Les trois derniers services d’Alexandre Hentzen qui ont dynamité la réception calaisienne et offert au Nancy Volley le 3e et dernier set.
→ Voir les joueurs nancéiens communier avec leur entraîneur à la fin du match. Que c’est beau une équipe qui gagne.
→ Le passage au 3e set d’Henri Bégorre, maire de Maxéville.
Je n’ai pas aimé :
→ La vitesse avec laquelle les joueurs et les dirigeants ont quitté le complexe Marie Marvingt malgré la victoire. Que fait-on de la convivialité !
→ Apprendre que des jeunes s’étaient amusés à écraser de la craie dans une des salles du complexe obligeant Jean-Pierre Collin et son équipe à faire des heures sup’
→ La température frisquette dans les travées de Marie Marvingt. De qui appréhender le prochain match à domicile contre Canteleu-Maromme qui se déroulera le 29 décembre prochain.
→ L’absence du WIFI pendant le match qui empêche de voir l’évolution des scores sur les autres terrains de Ligue B.
→ La grippe qui a attaqué Frédéric Bastian. Le salarié du Nancy Volley a malgré tout tenu sa place aux statistiques malgré l’attaque microbienne.
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