LA GAZETTE DU PK

J’ai aimé :

→ La fanfare de Maxéville mise au point par Serge El Founi, digne des tambours du Bronx. Avec encore quelques réglages, cette fanfare jouera à point son rôle de 7^e homme.

→ La fidélité de Guillaume Demésy dans les tribunes. Alors qu’il a pris sa retraite sportive, il demeure attaché au Nancy Volley.

→ La seconde manche des Maxévillois qui évoluaient enfin décomplexés.

→ La sympathie de Ratko Péris, l’entraineur cambrésien. Un personnage attachant.

→ L’arbitrage de Benoit Horcholle, le second arbitre, qui a souvent été calmé les bancs avec tact et clairvoyance. L’arbitre international a privilégié la prévention à la répression.

→ La cuisine de Marie Marvingt refaite à neuf par Jean-Pierre Colin, le maître des lieux. Un superbe outil de travail pour le Nancy Volley.

→ Le passage d’Henri Bégorre, le maire de Maxéville. Un supporter fidèle du Nancy Volley.

Je n’ai pas aimé :

→ La défaite contre Cambrai. Depuis son accession en Ligue B, le Nancy Volley n’avait jamais cédé à domicile devant la formation nordiste.

→ Les nombreux immanquables ratés par les attaquants nancéiens. A ce niveau là, cela ne pardonne pas.

→ Le manque d’esprit de révolte des Nancéiens alors qu’il subissait la tempête. Même l’ailier US Andrew-John Nally semblait éteint.

→ Le manque de rotation. Alors que Manu Dumortier loue depuis la reprise l’homogénéité de son groupe, il n’a apporté que très peu de retouches dans une rencontre où pourtant son équipe n’a jamais trouvé le bon équilibre. Allez comprendre !

→ Les quinze fautes au service en quatre sets. Trop, c’est trop !

→ Le départ rapide des joueurs nancéiens de la salle. Manu Dumortier avait même oublié l’IPQ et les certificats médicaux de deux de ses joueurs sur la table de marque !

→ Apprendre que Jakub Salon souffrait encore du coude.